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4 novembre 2011 5 04 /11 /novembre /2011 10:09

230505 184135604972600 100001284840562 525039 6401317 n                  L'Allemagne de la fin du dix-huitième siècle - et des débuts du dix-neuvième siècle - présente

 

         une physionomie morale très particulière. Les écrits de Voltaire ont agi de façon profonde sur la

 

         classe cultivée ; le rationalisme issu de la Révolution française a ruiné la foi de la masse. Pourtant

 

         la vie religieuse n'a pas disparu. Dans le pays tout entier, au Wurtemberg notamment, on voit se

 

         créer de petits cercles ; ils réunissent en associations indépendantes des âmes que ne satisfait

 

          plus le culte conventionnel et froid de l'Eglise établie. Groupes "piétistes ", à certains égards, mais

 

          porté par une spiritualité combien vivante. Si le royaume wurtembergeois a été préservé de la

 

          religion sentimentale et morbide qui sévissait ailleurs, il le doit surtout à l'action puissante de deux

 

          hommes d'élite : Jean-Albert Bengel et son disciple Oetinger. L'un et l'autre , ils ont préconisé un

 

           retour à la Bible, mais aussi souligné la nécessité d'une étude approfondie, sérieuse, du texte

 

           sacré.Dans leur bouche, sous leur plume, nul procès de l'institution ecclésiastique ; c'est le

 

          message de l'Eglise, faire oeuvre positive toujours, tel est leur mot d'ordre.

 

                   La soif de la Parole divine est grande, et le succés des "réunions " prodigieux. Pas de ville,

 

          pas de village même qui n'ait son " assemblée ", recrutée dans toutes les classes sociales. On

 

         attend le retour du Christ et la venue du Royaume, mais d'une attente active : quand se fonde la

 

         maison de Bâle, ces cercles-là se montrent particulièrement généreux.

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 08:08

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              C'est pour vous mettre à l'épreuve que D.ieu est venu..... Exode 20:20.

 

              Vous rappelez-vous de vos années de lycée?  Pendant les heures de test le professeur demeurait

 

      silencieux. La Bible dit: " Jésus obliga ses disciples à monter dans la barque et à passer avant Lui de

 

      l'autre côté pendant que Lui même renverrait la foule..... Le soir venu, la barque était au milieu de la mer,

 

      et Il vit qu'ils avaient beaucoup de mal à ramer, car le vent était contraire. A la quatrième veille de la nuit

 

      il alla vers eux, marchant sur la mer. Ils crurent que c'était un fantôme et ils poussérent des cris.

 

      Aussitôt,   Il leur parla et dit:    -   " Rassurez-vous, c'est Moi, n'ayez pas peur ".     Puis il grimpa avec eux

 

      dans la barque, et le vent tomba. Ils furent remplis d'étonnement ( Marc 6: 45-51 ).

 

               Cette histoire vous enseigne que:

 

              1°) La volonté de D.ieu exige que nous traversions parfois des tempêtes. " Le malheur atteint

 

       souvent le juste mais le Seigneur l'en délivre  toujours ( Psaume 34: 19 ).

 

             2°) Même si nous ne voulons plus le voir, Lui garde toujours son regard sur nous. Nous ne

 

      sommes jamais hors de Sa vue, ni trop loin, pour qu'Il nous protège et nous soutienne.

 

              3°) Il ne nous confie jamais des taches que nous pourrions accomplir par nos propres moyens.

 

      n'essayons jamais de nous débrouiller tout seul !

 

               4°) Si nous laisssons la peur nous envahir, elle nous empêchera de penser rationnellement

 

      et de reconnaître Sa main à l'oeuvre dans notre vie quand nous en avons besoin.

 

               5°) La première chose qu'Il fera sera de s'adresser à nous avant de s'occuper des circonstances

 

      qui nous menacent. C'est alors que survient une paix surnaturelle. Sa paix nous envahira.

 

               6°) Lorsque notre bateau est au coeur de la tempête, le meilleur reste encore à venir.

 

              7°) L'heure la plus sombre est celle qui précède l'aube. Réjouissons-nous donc ! le soleil

 

       brillera de nouveau. D.ieu ne nous laissera jamais tomber.

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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 10:21

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               " Que la paix de Christ, à laquelle vous avez été appelés pour former un seul corps, règne

 

        dans vos coeurs." Colossiens 3 : 15.

 

                Dès que vous enfreignez la volonté de D.ieu, vous perdez la paix intérieure que seul christ peut

 

        vous offrir. Si vous ne vous sentez pas en paix avec Lui en ce moment, ne faites pas un pas de plus

 

       sans recherchez Sa face ! Dans bien des circonstances cette paix qui vient de D.ieu seul sera l'unique

 

       preuve que vous agissez bien selon sa volonté. Faites-en votre boussole intérieure! 

 

                Comment acquérir cette paix intérieure?  Ecoutez : Ne vous inquiétez de rien, mais en toute

 

       circonstance présentée vos requêtes à D.ieu dans la prière, sans oublier de lui exprimer votre recon-

    

       -naissance. Et la paix de D.ieu qui dépasse tout ce que l'esprit humain peut imaginer, remplira votre

 

       coeur et gardera vos pensées en communion avec Jésus-Christ. Philippens 4 : 6-7.

 

               Remarquez les mots : " Ne vous inquiétez pas..... dans la prière".

 

        Par la prière vous povez transférer vos problèmes de vos épaules sur celle de Jésus !

 

                 Pierre a écrit : "  Humiliez-vous donc sous la puissante main de D.ieu, afin qu'il vous élève au

 

       temps convenable ; et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous.

 

      Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il

 

      dévorera.   Résistez-lui avec une foi ferme." 1 Pierre 5: 6-9.

 

              N'accordez pas au diable de répit. . Lorsqu'il vous tente, résistez-lui sans délai. Plus vous

 

        attendez avant de lui résister, plus vous risquez de trouver la lutte difficile.

 

              Dès l'instant ou vous vous faites du souci pour quelque chose, mettez votre esprit en alerte, et

 

         demandez-vous ce que l'ennemi est en train de faire et par quel biais il cherche à vous ébranler.

 

                 Paul a écrit ; " Ne donnez jamais accés au diable la moindre occasion de vous dominer "

 

           Ephésiens 4: 27.

 

                Apprenez à être plus fin et plus perspicace que lui ! A la moidre attaque, recevez-vous de la

 

          part de D.ieu pour le faire fuir en lui criant : " il est écrit ......" mais, au fait, connaissez-vous aussi

 

           bien que cela la Parole de D.ieu ?

 

              Bob Gass.

 

       

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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 09:10

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               Le futur " grand homme " était venu au monde le 16 juillet 1805. L'Allemagne connaissait des

 

        temps terribles. Le jour même de sa naissance les troupes françaises, qui s'apprêtaient à bousculer

 

        celle de la " troisième coalition ", entraient à Stuggart. La mère et le nouveau-né allaient-ils devenir la

 

        proie de leurs violences ?  Cachée des heures dans une armoire, Mme Blumhardt ne cessa de prier,

 

        suppliant D.ieu que son bébé demeurât tranquille. Elle fut si merveilleusement exaucée et put être

 

        libérée à temps. La dure nécessité avait obligé la jeune maman à reprendre son travail quotidien une

 

        heure après l'accouchement !

 

               L'aînée de la famille est mort à onze ans ; Jean Christophe se trouve donc très tôt à la tête d'une

 

        petite troupe de six frères et soeurs. Dès ses premières années il fait preuve d'aptitudes exception-

 

       -nelles et avant ses quatre ans fréquente l'école. Son père l'y porte dans ses bras, le maître le

 

        ramène de même. Tout comme le boulanger, l'instituteur Gundert se rattache aux conventicules

 

       religieux qui surgissent un peu partout dans le pays. Ame limpide, rayonnante, il va exercer une

 

        influence décisive sur l'enfant.

 

            

                 

 

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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 15:56

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                      - C'est ici chez toi ?

 

                      -  Oui, Monsieur.

 

                       - Bien, entre vite et appelle ta mère !

                     Cette conversation se déroule à Stuggart, une fin d'aprè-midi de printemps, dans un quartier

 

            de la vieille ville, entre un homme de haute stature - le regard vif, le visage ouvert - et un garçonnet

 

          qu'il tient par la main.

 

                         Quelques minutes à peine, et une femme jeune encore apparaît. Sur ses traits on lit

 

         l'étonnement et l'inquiétude.

 

                     - Bonjour, madame, je suis le nouvel instituteur de Jean-Christophe. Je vous ramène

 

          votre fils....

 

                       Sans attendre la fin de la phrase la femme pousse un cri :

 

                      - Ah ! Monsieur, vous ne le voulez plus? N'êtes-vous pas satisfait de son travail ? Il nous

 

         semble pourtant très appliqué ; M. Gundert, votre prédécesseur, l'a toujours dit.

 

                      - Tout à fait mon avis, madame, cet enfant est précisément trop doué pour que je le garde

 

         dans ma petite école. Il ne doit pas devenir ouvrier, votre Jean-Christophe. Faites-lui faire des études.

 

        Croyez-moi, il deviendra quelqu'un.

 

                       - Des études, monsieur l'instituteur ? Nous ne demanderions pas mieux ! Il en a des dons,

 

        notre aîné ! mais mon mari n'a que son travail de boulanger, et nos charges de famille sont lourdes...

 

        Ou donc trouver l'argent ?

 

                       - Ne vous tourmentez pas ! De l'argent,  pour un but pareil, il y en a toujours. Je vous le répète,

 

        cet enfant sera un homme remarquable. 

               

              

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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 14:38

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                  Nous n'avions pas parcouru beaucoup de route quand le moteur crachota et s'arrêta. Le

 

          chauffeur Et son mécanicien sortirent et moi aussi. Je me mis à prier : "Seigneur, tu sais que

 

          nous avons besoin d'arriver à Lanchow. S'il te plaît, pose ta main sur ce moteur ! C'est si dangereux

 

          ici sur la route." Nous avions entendu parler d'autres missionnaires qui avaient été tués de cette

 

         manière. Les hommes s'activaient sur le moteur, qui finit par repartir. Reconnaissante, je remontai

 

         à bord et nous reprîmes notre route. Mais il ne fallut pas longtemps avant que la même chose ne

 

         recommence. Tout se repassa comme précédemment, jusqu'à ce que l'autocar redémarre. Cettte

 

        épreuve se reproduisit plusieurs fois dans la journée, de sorte que le soir venu, nous n'avions pas

 

        parcouru le trajet prévu, mais comme il faisait sombre, nous dûmes passer la nuit sur le bord de

 

         la route.

 

                      L'aube parut pleine de clarté et d'espoir. Nous étions dianche, et ils entreprirent de travailler

 

        sur le moteur dès la luminosité le leur permit. Fatiguée d'attendre, je décidai de marcher jusqu'à ce

 

       que je  rencontre un petit ruisseau coulant à travers bois. Il était beau, étincelant au soleil et

 

        serpentant sur les pierres Je m'assis pour profiter du paysage et pour adorer le Seigneur.

 

                    Quelque temps plus tard, j'entendis le moteur du camion démarrer, aussi revins-je vers la

 

        route pour découvrir que nous étions prêts à partir. Nous arrivâ^mes à Lintao, tard ce dimanche

 

        après-midi et nous nous rendîmes missionnaires étaient partis, à la Mission de la Christian

 

        Missionary Alliance. Nous savions que tous misssionnaires étaient partis, mais nous étions les

 

        bienvenus pour y passer la nuit, car les ouvriers chrétiens chinois y travaillaient. Ils nous

 

        préparèrent un bon souper et nous dormîmes en paix, confiants que D.ieu ferait un grand miracle

 

        pour nous le lendemain.

 

                   Dès que nous eûmes fini le petit-déjeuner, Dave se dépêcha d'aller à la station de bus pour

 

        voir si nous pouvions en trouver un à destination de Lanchow, distante d'une journée de transport

 

       plus au nord. Pendant que j'attendais, un chinois, grand et beau mais aveugle vint  frapper à ma porte.

 

       Je me souvins immédiatement du récit de Mademoiselle Haupberg sur la famille de mendiants

 

       aveugles. Bien sû^r, je lui demandai s'il en faisait partie. Imaginez ma joie quand il me confirma qu'il

 

       était bien le fils de cette femme aveugle et qu'il servait servait le Seigneur ! Je bénis le Seigneur d'avoir

 

       exaucé les désirs de mon coeur et de m'avoir laissé rencontrer son serviteur, alors même que j'étais

 

       en train de quitter la Chine.

 

                    Quand Dave revint, il venait avec une bonne et une mauvaise nouvelle. Il y avait bien un car

 

       partant pour Lanchow, mais ils refusaient de nous prendre avec eux. Et cette fois-ci, la carte du

 

        magistrat n'avait aucun effet, nous étions dans une autre ville. Mais nous avons insisté et, après

 

       beaucoup de prières, de persévérance et d'insistance, nous sommes finalement parvenus à monter

 

       dans cet autocar bondé.

 

                   A chaque fois que nous croisions un autocar venant de Lanchow, le nôtre s"arrêtait et les deux

 

        chauffeurs s'entretenaient. Nous savions qu'ils demandaient si l'armée communiste avait pris les

 

        villes qu'ils venaient de quitter. Finalement, alors que la nuit tombait, nous arrivâ^mes à Lanchow,

 

        puis nous nous rendîmes à  la China Inland Mission en pousse-pousse. En franchissant la porte,

 

       le premier missionnaire rencontré nous demanda, apparemment surpris de nous voir :

 

       " Comment avez-vous fait pour passer ? C'est un miracle.  La ville est cernée par les communistes.

 

       Depuis hier nous attendons qu'ils fassent sauter les ponts

 

       au-dessus du fleuve Jaune !"

 

                   Effectivement, c'était un MIRACLE ! D.ieu avait ouvert la porte pour que nous puissions

 

        simplement passer.

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29 octobre 2011 6 29 /10 /octobre /2011 20:07

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                  ,

                                                                      

 

 

 

 

 

 

 

 

                 L'heure est maintenant venue,

               De partir pour l'Amérique,

               Ou des âmes par milliers prospèrent,

               Cela nous encourage et nous console.

 

               L'heure est maintenant venue,

               De partir pour l'Amérique,

               Les chevaux sont déjà attelés,

                Avec femmes et enfants nous partons.

 

                L'heure est maintenant venue,

                De partir pour l'Amérique,

                Les chevaux sont déjà attelés,

                Nous partons vers une terre inconnue.

 

               Vous tous, qui ê^tes notre famille,

              Tendez-nous la main une dernière fois ;

              Vous les amis, ne pleurez pas trop,

              Nous nous voyons pour la dernière fois.

 

             Soyez tous des hommes, et soyez forts,

             Ne nous rendez pas le départ trop dur.

             Ce n'est pas le monde que nous quittons,

              Là-bas aussi, D.ieu est présent et nous soutient.

 

              Quand pour le grand large nous embarquerons,

              Alors les chants nous entonnerons;

              Nous ne craignons aucune cataracte

              Car le D.ieu que nous aimons est présent partout.

 

              Quand Baltimore nous atteindrons,

             Alors notre D.ieu saint nous élèverons ;

             Et  "Victoire " bien fort nous crierons !

             Maintenant, nous sommes en pays béni !

 

             Bienvenue, patrie étrangère

             Pour laquelle mon coeur soupirait ;

             Le pays ou je suis né

             Doit s'estomper et reculer de loin.

     

             Adieu, adieu, terre natale,

             Adieu encore, amis et parents ;

             Nous nous reverrons sur les rivages célestes,

              Près des palmiers paisibles éternels.

 

            Histoire des Mennonites Hutterites.

 

          

           Ce chant fut chanté par les Mennonites et les Hutterites avant de quitter la Russie. il fut écrit par

    Jacob Stuku, un ancien de la communauté mennonite de Kotosufka, district Shitomir de Volhynia, en

    Russie Occidentale.

          

 

            

 

            

        

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 17:34

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                    Il y avait une petite mendiante aveugle. Chaque jour, elle s'asseyait sur le côté de la route

 

           et mendiait. Elle était mariée à un autre mendiant, lui-même aveugle, et ils avaient un fils aveugle.

 

          Un matin, alors qu'elle était assise sur le côté de la route, elle était particulièrement triste. Elle se

 

          disait : "Est-ce tout ce qu'il y a dans la vie ? N'existe-t-il pas d'espoir d'une vie meilleure ? "

 

          Tout à coup, un être de lumière vint près d'elle et lui dit :

 

        " Ne baissse pas les bras. Je t'envoie ma servante d'un pays lointain, et elle t'annoncera

 

         le chemin de la vérité."

 

                    C'est pourquoi elle attendit. Un jour, la soeur Haupberg arriva dans le Nord Ouest de la Chine.

 

         Elle avait réellement un lourd fardeau pour les nombreux mendiants affamés, aussi ouvrit-elle une

 

        cantine de riz, ou elle se mit à prêcher quand ils venaient manger. Au milieu de la foule qui vint l'écouter,

 

        il y avait cette femme aveugle et sa famille. Aprés un certain temps, la soeur Haupberg lui demanda :

 

       " Pourquoi continues-tu à venir, même quand il n'y a plus rien à manger ? Les autres n'ont-ils pas

 

         cesser de venir ?"

 

                    Cette petite mendiante répondit : " Ils sont venus pour du riz, mais moi je suis venue pour

 

        la vérité, parce que vous êtes la personne dont l'être de lumière m'a parlé." Elle lui raconta alors

 

       son histoire. Quand la soeur Haupberg nous la rapporta, la petite mendiante et son mari étaient

 

       partis auprès dubSeigneur, mais son fils était désormais un jeune homme travaillant à la Christian

 

       Missionary Alliance ( CMA ) à Lin Tao, une ville distante de Minsheim d'environ 12 heures de camion.

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 18:48

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                   Noel approchait et je me mis à prier pour qu'il neige."Neige-t-il parfois ici ? demandai-je.

 

                  Quasiment jamais. Voyez-vous, ici tout est trop sec. Il n'y a quasiment jamais de précipitations

 

       dans le désert de Gobi."

 

                 Mais j'avais décidé de prier. Je désirais aussi autre chose pour Noel. Un sapin. Or, je n'avais

 

        jamais vu un seul arbre dans toute la Mongolie, encore moins un arbre de Noel.Mais pour D.ieu,

 

       toutes choses sont possibles. Peu de jours avant Noel, après la tombée de la nuit, un homme arriva

 

       à la porte de notre complexe. Il avait un arbre de Noel ! Je peux vous dire que j'ai crié de joie et lui ai

 

       sauté au cou en le remerciannt généreusement. Il ne me fallut pas longtemps pour le décorer avec

 

       tout ce que j'avais sous la main. a mes yeux, il était merveilleux et je louai D.ieu pour cela.

 

                   Désormais sur ma liste, il ne manquait que la neige. Et si D.ieu avait pu envoyer ce sapin, il

 

      pouvait aussi envoyer la neige !

 

                  Le jour de Noel, dès mon réveil j'ouvris la porte de mon complexe. Le sol était couvert de neige !

 

      Je me précipitai à ma fenêtre : de la neige, il y en avait partout ! Elle était tombée pendant la nuit. Je

 

      versai des larmes de joie en louant mon Seigneur !

 

               Deux heures plus tard j'ouvris la porte de ma cour et constatai que la neige avait disparu ! La

 

      vieille servante chinoise finissait juste de la balayer. "Arrêtez ! ne faites pas cela "! criai-je.

 

             Elle me fixait consternée. Mais c'était trop tard, le mal était fait. Je ne pouvais plus que regarder  par

 

     ma fenêtre et profiter de la vue sur le désert et les montagnes couverts d'un magnifique manteau blanc !

 

              Cet après-midi-là, nous décidâmes de sortir faire un tour en ville, juste pour profiter de la neige.

 

      Notre promenade fut longue. finalement, nous arrivâmes devant un mystérieux parc. En regardant à

 

      l'intérieur, nous comprîmes qu'il s'agissait du cimetière des rois et de la famille royale de Mongolie.

 

       en marchant à l'intérieur, tout nous apparaissait étrange.

 

                  Puis brusquement je remarquai une petite rangée d'arbres totalement verdoyants, et je

 

     m'aperçus qu'il en manqué un qui avait été récemment coupé. Il n'en restait plus que la souche ! Je

 

      me demande si les anges coupent des arbres dans le cimeière des rois Mongols ?

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 21:24

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                   Puis ce fut mon anniversaire, le premier à être célébré en Chine. J'étais triste parce que je

 

        pensais avoir été oubliée. Mais soudainement on frappa à ma porte. Quand je l'ouvris, je me trouvai 

 

        face à un jeune garçon chinois avec un chaton dans les bras.

 

                 " Maîtresse " me dit-il timidement, " je désire vous offrir ce jeune chaton."

 

                 " Comme c'est gentil ! Hsieh Hsieh ni ( merci ). To shao ch'ien ( combien en veux-tu )?"

 

                  Mais il ne voulait rien, c'était un présent. Quand  je le pris, il se mit à ronronner dans mes mains.

 

                 J'entendis alors Jésus me dire : " C'est mon cadeau d'anniversaire pour toi.

 

                 Tu vois, je ne t'ai pas oubliée!'

 

                   Avec un beau sourire, le jeune garçon ressortit et je ne le revis jamais. Nous étions en 1948

 

         et j'avais 24 ans. peu de temps plus tard, j'eus l'occasion de prê^cher mon premier sermon en

 

        chinois dans l'église. J'étais en Chine depuis moins d'un an.

 

                  Nous engageâmes un professeur de langue chinoise pour nous perfectionner. J'étais très

 

       occupée. Le sel nous parvenait en blocs et devait être raffiné ; le lait venait d'une famille mongole

 

       qui avait des chèvres dans le pays et l'eau était charriée d'un ruisseau proche. Par contre, nous

 

       n'avions pas d'électriité. Notre éclairage fut une simple bougie jusqu'à l'obtention d'une petite lanterne

 

        importée de Suède, ce qui était un vrai luxe. La plupart des gens utilisaient une assiette d'argile

 

       remplie d'huile avec une méche flottante. Inutile de dire que la lumière était si faible qu'il était

 

        impossible alors de lire, de sorte que tout le monde se couchait tôt.

 

                      Je jouais d'un petit orgue à pompe dans l'église, je chantais les cantiques en chinois et

 

        écoutais les sermons dans cette langue avec beaucoup d'attention.

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