D.ieu est le rocher, son oeuvre est parfaite; car toutes ses voies sont justice. C'est un D.ieu
fidèle,et il n'y a pas d'iniquité en lui, il est juste et droit. ( Deutéronome 32: 4 ).
Satan réussit à faire croire à Eve que d.ieu lui refusait quelque chose de bon, quelque chose
qui lui semblait attirant; dès lors elle commença à se méfier de D.ieu. Elle croyait savoir mieux que
lui ce qui était désirable. Au sujet du fruit défendu , D.ieu avait dit:
" Au jour que tu en mangeras, tu mourras certainement " ( Genèse 2: 17 ).
Mais Eve porta ses regards vers l'arbre défendu et jugea qu'il était :
"bon à manger,et qu'il était un plaisir pour les yeux, et que l'arbre était désirable pour rendre
intelligent "( Genèse3: 6 ).
Elle s'appuya sur son propre jugement au lieu d'accepter celui de D.ieu. Dans quel
malheur se plongea-t-elle en agissant ainsi, sans se confier en D.ieu !
N'a-t-on pas ici la cause de tous les malheurs dans le monde actuel? Pensons à cela et
interrogeons-nous avec sincérité. Si nous aspirons au bonheur et à la paix du coeur et de l'esprit,
c'est là que nous devons commencer. Reconnaissons que la racine de tout malheur est notre
manque de confiance dans la sagesse et la bonté de D.ieu à notre égard; cessons de penser que
nous savons mieux que lui ce qui est nécessaire pour nous rendre heureux. Arrêtons de nous
confier dans nos propres pensées au lieu de nous confier dans les siennes.
Ne voulons-nous pas remettre notre vie à D.ieu et lui laisser tracer notre chemin? Sa parfaite
connaissance de toutes choses nous donne l'assurance qu'il sait ce qu'il y a de mieux pour nous.
Sa parfaite connaissance de toutes choses nous donne l'assurance qu'il sait ce qu'il y a de mieux
pour nous. Sa puissance infinie est la garantie qu'il est capable de nous transmettre cette force, à
condition que nous nous confiions simplement dans son amour, sa sagesse et sa puissance.
Te laisser seul agir et nous tracer nos voies,
D.ieu de paix, D.ieu d'amour !
Trouver auprès de toi la source de nos joies,
A tout instant du jour !
Auteur H. Rossier